mardi 7 août 2012

Entre Calvi et l'île Rousse - 1

Comme annoncé précédemment, le voyage en Corse de l'été 2008.

Ce fut véritablement carnet & sac à dos-tente-bardas de la mort...le plus compact possible en n'emmenant que l'essentiel. Parce qu'on devait voyager à pied et camper.
Edith (ma compagnonne d'aventure) et moi, en fait, nous pensions toutes deux que l'autre apporterait son appareil photo et une fois arrivées au point de rendez-vous (Marseille), aucune de nous ne l'avait pris (et pas de smartphone). Dessiner fut notre seul moyen de garder une trace impérissable de nos vacances. Mais c'est bien aussi!

Donc tous les dessins sont évidemment faits sur place, plus ou moins rapidement. Avec option pastel bien gras. Il y a d'ailleurs eu moins de "post-production", le carnet est plus "brut" que ceux faits par la suite, peut-être moins soigné et moins lisible parfois...
J'ai aussi fait mon possible pour nettoyer les images scannées mais voilà, les feuilles du carnet étaient un peu trop fines, transparentes, on voit toujours les images de derrière...malgré mes efforts, c'est pas vraiment ça... Dorénavant, j'utilise des carnets avec du papier suffisamment épais. 
Bonne lecture quand même!



 Dans la cour, en attendant d'embarquer sur le ferry.

 Sur le pont du ferry, on commence à quitter le port de Marseille. Grand panorama de la ville avec le building de Zaha Hadid en construction sur la gauche.

 Bonne mère, on va en Corse!

 I'm the king of world (enfin the queen, plutôt).
Miracle, la SNCM ne fait pas grève!


 Dès l'aube, le ferry arrive au large de l'Ile Rousse. Dessins "en temps réel", au fil du déplacement du bateau et du paysage changeant (lentement).






Petit déjeuner près du port, le ferry est en train de se remplir en attendant de repartir pour le continent.



Un petit tour avant de prendre le train. 


On se croirait en Amérique du Sud ou en Inde (les poules en moins peut-être), ce tortillard semble venir d'un autre âge! 



Algajola.
Un camping pour plagistes sans grand intérêt mais à deux pas de la mer et du train.
Un pied à terre pour nous permettre d'installer le campement quelques temps et faire des excursions sans le gros bardas. On devait bouger mais finalement, on n'a pas démonté la tente, on est resté à Algajola entre l'Ile Rousse et Calvi.
Mais la Corse c'est tellement beau et riche, que même coincées entre ces deux villes, on a trouvé moyen de faire plein de belles balades.

2 commentaires:

  1. Merci !
    Et je te décerne la médaille de celle qui a osé écrire un commentaire sur ce blog (c'est le premier!!)

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