Où sommes-nous?
On ne sait pas le nom de la ville, on se croyait à Zhangjiajie, mais nous nous trouvons manifestement dans un bled voisin. Tous les plans sont en chinois, et personne ne parle anglais au Tourism Office...
Enfin, bref.
Après un moment d'errance, nous trouvons l'entrée du "parc". Parce qu'en fait, nous sommes venus à Zhangjiajie pour les montagnes, mais il n'y a pas de sentier de randonnée libre, mais un site transformé en gigantesque parc naturel aménagé pour les marcheurs endimanchés. Tous les sentiers sont bétonnés ou dallés (humidité extrême oblige).
Et des papillons noirs aux reflets bleutés...
Et oui, ça grimpe un peu, donc, si tu as la flemme, tu peux monter en palanquin.
Et donc, la magie du lieu s'arrête là ou presque...
Tout est aménagé pour que le vacancier puisse visiter l'ensemble du site en une journée sans trop se fatiguer. Les différents endroits du parc sont reliés par des bus et il ne faut pas trop marcher pour atteindre un bon spot. On peut donc tout faire en petite robe et ballerines, pas de problème.
Ah... la belle ouvrage.
L'argument commercial choc: le site aurait inspiré les décors du film "Avatar".
Chants traditionnels a capella, dans une gargote.
Descente
Le grand ascenseur de verre (qui ne s'envole pas dans le ciel) fait 400m de haut... il coûte un bras pour ce que c'est: à peine une minute de trajet tassés les uns contre les autres.
Migraine carabinée, overdose de bruit et d'agitation. Du bruit partout, PARTOUT...
Sans répit.
Pause.
Notre petite auberge de marcheurs au confort succinct mais au calme. Il pleut des cordes, notre hôte nous a offert le thé. Elle ne parlait pas un mot d'anglais, mais il y a des choses qui passent autrement.
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